Devant l’absence de traitement et de vaccin capables de prévenir ou de bloquer l’infection au SARS-CoV-2, des médicaments existants sont repositionnés pour traiter la maladie COVID-19 déclenchée par le virus. Celui-ci atteint des organes très divers. Ces atteintes peuvent moduler les effets secondaires des traitements et se conjuguent parfois au contexte d’une maladie chronique sous-jacente. Le projet COVID du réseau Prévitox, coordonné à Rennes par l’Institut NuMeCan, vise à mieux caractériser les effets nocifs de ces traitements sur des modèles cellulaires adaptés aux caractéristiques de la maladie.
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